i don't even dream much anymore
j'aime pas les rêves qui sentent trop le vrai.
que même une fois réveillée ça reste dans ta tête et dans tes tripes comme si ça s'était vraiment passé.
j'ai rêvé que je pleurais, et que j'arrivais pas à m'arrêter.
mais pour une fois, on me consolait, comme il se devait.
ça
n'empêchait pas que ça coulait toujours à flot de mes yeux mais, i was
held, et j'ai encore l'impression que je peux sentir l'odeur de son
pull inexistant qui m'agrippait. for real.
c'est embêtant.
et puis "Riding Alone for Thousands of Miles" ("Riding Alone : Pour un fils") c'était très bien que tu pleures beaucoup alors tu vois plus trop ce qu'il se passe à l'écran mais que tu devines quand même que c'est très beau et très bien et très triste.
et puis j'ai les boules pour vendredi.